En 2011, le triste constat tombe : au cours des prochaines années, l’infestation d’agrile du frêne obligera l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie à couper près d’un arbre sur trois dans les rues de son territoire. Pour cette seule année, ce sont près de 500 frênes qui devront être abattus. Conscient de l’impact négatif des abattages sur les résidents et sur le milieu de vie, l’Arrondissement a jugé primordial de trouver de nouvelles avenues pour valoriser le bois de frêne et donner une seconde vie à cette inestimable ressource.
Leader en matière de développement durable et orienté vers l’appropriation de l’espace public par les citoyens, l’Arrondissement a choisi de revaloriser le bois de frêne à travers la création de pièces de mobilier urbain.